La technique d’installation du parquet flottant est appelée clipsage. Le meilleur clipsage prend en compte la surface sur laquelle le parquet sera posé, les outils d’installation, et un calcul simple : a raison d’une journée pour couvrir 14 à 16 m², vous mesurez le temps nécessaire pour toutes vos pièces ! Les outils nécessaires pour clipser votre parquet sont : le mètre, le cordeau, le crayon à papier, le tire lame, le niveau, des règles de 30 cm et 2 mètres, la scie, le marteau, et éventuellement de la colle et un chiffon. La surface de travail (votre sol) doit être plate et lisse, et stable. Au besoin, il serait préférable de lisser la surface au moyen d’une chape. Toutefois, certains types de sols peuvent être « travaillés » directement : les sols carrelés, les dalles de béton avec enduit de lissage et les planchers en bois. Seulement, les dalles avec enduit de lissage doivent être tout à fait sèches pour un travail adéquat. Il est conseillé d’attendre au minimum sept à neuf jours après l’enduit de la surface plane, avant de commencer effectivement à travailler. Petite astuce : pour éviter le bruit sourd et désagréable caractéristique de nombreux parquets en bois, vous pouvez étaler une moquette très mince sur laquelle vous assemblerez les lames. La surface gagne ainsi en densité et en uniformité. Posez ensuite un joint périphérique, c'est-à-dire une cale de 5 mm entre le mur et la première lame flottante à installer. Les lames sont posées ensuite languettes vers l’avant, dans le sens des rayons du soleil, en emboîtant les rainures. Pour emboîter les lames entre elles vous pouvez utiliser une lame martyre.
La plupart des parquets flottants ne sont pas clipsés, mais collés. Un collage réussi s’effectue de la façon suivante : appliquer préalablement la colle sur les rainures des lames, et posez-les sur la couche isolante. Il faut progresser ainsi au fur et à mesure qu’on avance sur la surface à travailler. Les colles à spatules sont d’abord étalées sur une surface d’1 m² ; ensuite on y pose les lames flottantes en les emboîtant les une aux autres. Une autre technique de colle préconise d’utiliser les colles à cordon en plastique. Chaque colle d’un diamètre en papier de 3 mm est placée au dos de chaque pièce à fixer sur la moquette isolante. L’usage de la colle entraîne malheureusement des traces grasses et visibles sur le parquet qui peuvent être effacées à l’aide d’un chiffon imbibé d’eau. Lorsque toute la surface a été collée, il faut ôter les joints périphériques et couper les lames de raccordement pour compléter les parties étalées le long des murs de la pièce. En raison des dimensions propres à chaque pièce, il est préférable d’acheter 15% de plus que le total de la surface à couvrir. Certaines pièces exigeront des coupures des cadrages particuliers, et des pertes en lames qui doivent être compensées. Les bricoleurs qui prennent une marge supérieure de lames à coller ou à clipser ne sont pas à court de matériel, et rachètent du temps pour nettoyer le parquet après l’installation.
Vous avez terminé votre installation. Simple n’est-ce pas ? Naturellement, au gré des coupures, des mesures à prendre et des lames à étaler, cette entreprise vous amènera à utiliser tous les matériaux et outils cités plus haut. Mais dans le fond, le travail d’installation est vraiment un jeu d’enfant : installer une moquette isolante, prévoir les joints périphériques le long des murs, et faire coulisser vos planches les unes sous les autres. Après cela, raccordez les zones occupées par les joints précédemment. Voilà, c’est fait. Et vous ne rêvez pas, ce travail n’est pas celui d’un bricoleur professionnel, c’est le vôtre !
La plupart des parquets flottants ne sont pas clipsés, mais collés. Un collage réussi s’effectue de la façon suivante : appliquer préalablement la colle sur les rainures des lames, et posez-les sur la couche isolante. Il faut progresser ainsi au fur et à mesure qu’on avance sur la surface à travailler. Les colles à spatules sont d’abord étalées sur une surface d’1 m² ; ensuite on y pose les lames flottantes en les emboîtant les une aux autres. Une autre technique de colle préconise d’utiliser les colles à cordon en plastique. Chaque colle d’un diamètre en papier de 3 mm est placée au dos de chaque pièce à fixer sur la moquette isolante. L’usage de la colle entraîne malheureusement des traces grasses et visibles sur le parquet qui peuvent être effacées à l’aide d’un chiffon imbibé d’eau. Lorsque toute la surface a été collée, il faut ôter les joints périphériques et couper les lames de raccordement pour compléter les parties étalées le long des murs de la pièce. En raison des dimensions propres à chaque pièce, il est préférable d’acheter 15% de plus que le total de la surface à couvrir. Certaines pièces exigeront des coupures des cadrages particuliers, et des pertes en lames qui doivent être compensées. Les bricoleurs qui prennent une marge supérieure de lames à coller ou à clipser ne sont pas à court de matériel, et rachètent du temps pour nettoyer le parquet après l’installation.
Vous avez terminé votre installation. Simple n’est-ce pas ? Naturellement, au gré des coupures, des mesures à prendre et des lames à étaler, cette entreprise vous amènera à utiliser tous les matériaux et outils cités plus haut. Mais dans le fond, le travail d’installation est vraiment un jeu d’enfant : installer une moquette isolante, prévoir les joints périphériques le long des murs, et faire coulisser vos planches les unes sous les autres. Après cela, raccordez les zones occupées par les joints précédemment. Voilà, c’est fait. Et vous ne rêvez pas, ce travail n’est pas celui d’un bricoleur professionnel, c’est le vôtre !
